Le 12 avril 2004
«Saint Benoît Labre est un ami qui m'accompagne sur les chemins. Si comme lui, je parviens à me dépouiller du superflu, à accepter de n'être qu'un passant, je peux mieux mettre mes pas dans ceux de Jésus et, alors, je n'ai plus rien à craindre. Depuis que je suis devenu abstinent d'alcool ce qui est un miracle, je me suis mis en route dans tous les sens du terme et la compagnie de Saint Benoît est précieuse pour moi. J'ai appris à le connaître alors que je me préparais à partir pour Saint-Jacques de Compostelle et depuis, je sais qu'il est discrètement là, près de moi.» (Michel D., Belgique)
Le 13 novembre 2003
«Mon fils, 25 ans a été baptisé et déclaré à l'État civil : Romain, Benoît Joseph Labre; nous avons toujours eu une grande dévotion pour saint Benoît qui fut reçu dans la famille.» Il ajoutait : «Je viens d'accompagner, pendant trois mois, un errant illétré, et pourtant bien cultivé, atteint d'un cancer des poumons et sans domicile. [...] dans chaque petit, il y a un trésor de Dieu. [...] Saint Benoît était là hier soir pour le conduire en paradis.» (Bernard de J.)
Le 6 mars 2003
«J'avais découvert saint Benoît grâce au Père [Bernard] Hingrez, quelques années auparavant où nous étions allés prier le saint en faveur des vocations sacerdotales pendant l'année du bicentenaire de saint Benoît Labre. Le sentiment de grâce de ce jour alors que j'entrais dans l'église ne devait plus me quitter jusqu'à aujourd'hui. Je savais dès cet instant que cette rencontre avec Benoît changerait mon existence. [...] Grâce à Benoît, j'ai enfin trouvé ma voie dans cette vie. Il est l'ami de chaque instant, mon compagnon de route qui partage les bons et les mauvais moments. Avec lui, le vie me semble moins difficile, moins cruelle et plus supportable...» (Didier N., France).
Le 24 novembre 2002
«J'habite à 20 km du village de Benoît Joseph Labre, en France, j'y vais prier, souvent seule, le lieu est paisible, propice au recueillement. Pendant l'année, il y a des marches de jeunes dans la campagne avec Amettes comme point d'arrivée. Il y a des visites organisées d'enfants du catéchisme. Il y a surtout la grande neuvaine de fin août début septembre. Benoît est un solitaire qui n'a jamais réussi à trouver sa place dans un monastère. Il a pourtant poursuivi son chemin vers Dieu. Je n'arrive décidément pas à trouver une place définitive dans un groupe spirituel. Alors je marche comme Benoît, avec mon rosaire autour du cou, mon bréviaire dans mon sac, mon évangile dans ma poche, adorant dans mon coeur, regardant les gens autour de moi et disant à Dieu dans le secret : "Si tu veux, fais quelque chose pour lui, pour elle." Me savoir en communion de prière avec les amis de Benoît Labre : une grâce, un soutien» (Nadine B., France).
Le 12 octobre 2002
«Ayant entendu parler de Benoît Labre depuis longtemps, maintenant c'est avec lui que mes prières s'orientent. J'aime bien l'histoire de cet homme qui a mené une vie "humble et pauvre" (Nancy G., Québec, Canada).»
Le 15 septembre 2002
« Je suis tombé sous le charme de cet homme (Benoît Labre), car, comme lui, je suis un chercheur de Dieu et toujours sur la marche en route vers le Père céleste. [...] Je ne peux pas me comparer à Saint Benoît, mais j'ai le sentiment que je peux trouver en lui le courage et la direction afin d'être un canal choisi par Dieu afin d'aider mes frères et soeurs du Congo et accomplir ainsi son dessein (Laurent K., France).»
Le 29 avril 2002
«... je trouve qu'au delà de toute spécification religieuse il (Benoît Labre) a montré que la vraie union avec Dieu notre Père, avec Jésus sa parole et avec leur Esprit de Vérité éternelle, consiste dans une consécartion de tout l'être humain à l'unique but de la vie humaine. Et ce but, c'est d'adorer Dieu en esprit et en vérité où qu'on soit corporelle- ment et se construise par la prière constante et toujours approfondissante, toujours plus eucharistique» (Giordano F., Australie).
Le 8 avril 2002
«... ce qui m'attire chez lui (Benoît Labre), c'est sa démarche de non installation quelque part, de mouvement, de départ, qui met en exergue la vérité que nous ne sommes que de passage sur terre mais que notre vraie patrie est ailleurs. C'est cet aspect qui m'intéresse chez lui» (Séverine D., France)
Le 26 mars 2002
«...je suis le responsable du groupe de jeunes de mon unité pastorale ici à Bruxelles. Je suis leur animateur depuis déjà 4 ans. Les jeunes que j'anime ont entre 12 et 16 ans! Ce groupe de jeunes fut créer sur les trois mots clé suivant: Service, Fraternité et Dieu dans le coup.
«Chaque année, nous suivons un personnage. Ce personnage peut-être un(e) Saint(e), un prêtre, un abbé, ... Dans les années passé, nous avons déjà suivi des personnage comme : Saint Vincent de Paul, Saint François d'Assise, [...] et cette année notre regard s'est posé sur Saint Benoît-Joseph Labre. En fait c'est notre animatrice Pastorale qui m'en a donné l'idée en me racontant un peu sa vie. Moi, je ne connaissais pas du tout Saint Benoît-Joseph Labre avant qu'elle ne m'en parle et quand j'ai appris à le connaître j'ai directement senti que grâce à lui je pourrais faire passer un message auprès de mes jeunes. Le message que je veux faire passer est de ne jamais désespérer, de garder le moral, ..., que l'amour de Dieu est tellement grand et beau. Il suffit de voir Saint Benoît donner tout ce qu'il a au gens qui en ont plus besoin que lui» (Sébastien F., Belgique).
En janvier 2002
« Benoît Labre n'est pas très connu ici en Belgique, du moins à ce que je peux en voir dans mon entourage. Je vous dirais pour ma part, que ce qui m'a attiré chez lui, c'est la dimension de pèlerinage de sa vie. J'ai moi-même déjà été à Saint-Jacques de Compostelle en 1998. Par la suite, en commençant mon travail sur lui, j'ai découvert un grand priant, de la race des Pères du Désert, comme il est écrit dans la préface du livre d'André Dhôtel. Il m'éclaire, dans ma propre prière, et je lui demande d'intercéder pour moi. Le fait d'écrire un mémoire sur lui m'apporte beaucoup sur le plan spirituel, et c'est une joie de l'avoir comme compagnon de prière » (Benjamin B. Belgique, rédacteur d'un mémoire universitaire intitulé: Saint Benoît Labre, une spiritualité du pèlerin).
En décembre 2001
« Je ne ne connaissais pas St Benoît Labre, et c'est lors de la messe de toussaint que ma mère m'a ramené un papier où son nom était écrit. D'après le prêtre de la communauté, c'est l'Esprit Saint qui l'aurait choisi pour m'accompagner durant cette année. J'ai 17 ans [...] Je vous remercie d'avoir pu m'informer sur ce personnage. Je suis sur un chemin tortueux, et peut-être qu'il ne me mènera nulle part. Mais d'après ce que j'ai cru lire, St Benoît Labre connaissait la route, peut-être pourrait-t-il m'aider à trouver la mienne. MERCI...»
En juillet 2001
Ce qui m'inspire, «c'est la dimension de dépouillement de Benoît, son pèlerinage permanent, sa volonté de partage du peu qu'il possède avec les plus pauvres» (Marcel V., France).
En fin de mai 2001
«Je vous ai parlé de l'abbé T. auprès duquel j'ai milité dans un groupe de jeunes qu'il avait créé. L'axe de ses réflexions sur saint Benoît Labre était le fait qu'il était une sorte d'icône vivante du Christ. Son indigence, en effet, imageait le Dieu fait homme qui se revêtit des péchés des hommes en victime expiatoire. L'homme n'est pas fait pour cette indigence extrême choisie par le saint. Cette "clochardisation" lui répugne, puisque Dieu l'a créé pour participer à sa royauté, la béatitude d'être incorporé à Lui dans l'Eglise, corps du Christ. Pourtant, combien plus dramatique est la situation du Christ, perfection absolue, qui, dans sa passion, accepte d'endosser la déchéance extrême de ses créatures pour les tirer de l'abîme du péché dans lequel elles ont sombré.
«Saint Benoît Labre supportait sa vermine au point de la protéger dans la nourriture qu'elle tirait de son propre corps. Il y a là une similitude pathétique avec le Christ qui supporte affectueusement, amoureusement, ses créatures humaines déchues pour mener à son terme le plan de sauvetage, de salut, qu'il entreprend pour elles. Le Père T. nous expliquait cela et le vivait. Il l'a vécu durant vingt- cinq ans environ à compter du moment où, malade (il n'a jamais donné de détails sur cette question), il a demandé à son évêque d'être déchargé de son vicariat d'une paroisse parisienne pour vivre quasiment en ermite dans une ancienne ferme délabrée de la Sarthe (région du Mans, ville de l'ouest de la France).
«Aujourd'hui, il est, me semble-t-il au terme de sa vie terrestre. Sa condition de vie est encore plus ultime qu'elle ne le fut il y a vingt-cinq ans. Son enseignement avait sur nous un fort retentissement. L'épisode de plusieurs années où il nous parla de Saint Benoît restera fortement gravé dans nos esprits» (Daniel, France).
Le 1er mars 2001
«Je connaissais un peu la vie de Benoît Labre par des amis qui avaient une grande dévotion envers lui; ceux-ci lui ont consacré une petite chapelle à Villebois (Abitibi). Sachant que celui-ci avait beaucoup marché, ayant moi-même un problème de genou depuis plusieurs mois, je suis allé visiter mes amis et en même temps le petit oratoire qui lui est dédié.
«Quelle simplicité et quel silence! J'ai prié Benoît Labre et aussi j'ai renconté les personnes qui s'occupent aussi de maintenir activement l'oeuvre entreprise. Depuis cette visite, le genou (mal en point depuis plusieurs mois) n'a cessé de reprendre de la force et de la résistance.
«J'invite chacun à faire le voyage, à visiter l'oratoire, l'environnement tout autour et surtout rencontrer les gens accueillants et disponibles qui s'occupent de l'oratoire. Cela peut faire l'objet d'un beau pèlerinage (voyage) dans un bel endroit, original, simple et près de Dieu.
«Tous ces contacts m'ont incité à m'intéresser davantage à la vie de Benoît Labre. Après la lecture d'une biographie, ce que je retiens de sa vie est bien sa grande simplicité, son dénuement, son attachement à des valeurs essentielles. De plus, malgré son apparence de "pauvre" sur tous les points, la population et l'Église ont reconnu sa sainteté. Cela nous montre la grande variété des chemins qui peuvent mener à Dieu et à la reconnaissance de ses bienfaits» (Domitien, du Lac St-Jean au Québec).
Le 27 janvier 2001
«Au sujet de Saint Benoît Labre: je m'intéresse à lui depuis plusieurs années. Je suis toujours à l'affût de renseignements sur son sujet. Son infuence sur ma vie spirituelle? Après avoir lu beaucoup sur sa vie et sur les différentes spiritualités qui l'entourent, j'ai axé ma réflexion sur la vie familiale. Étant marié avec des enfants, je ne peux vivre comme Saint Benoît. En m'inspirant de la famille Sori qui accueillait notre Saint, j'ai développé une spiritualité basée sur trois maître-mots: HOSPITALITÉ - ÉCOUTE - PRIÈRE. J'ai décidé d'appeler cette spiritualité: Famille Hospitalière Labrienne » (Denis, de l'Ancienne-Lorette au Québec).
Le 8 janvier 2001
«Je viens de lire une petite hagiographie dans une revue acquise au Carmel d'Ohain (Belgique). J'éprouve beaucoup d'amour pour Saint Benoît Labre pour l'amour absolu qu'il a donné à Dieu toute sa vie, après avoir été éjecté de tous les monastères où il voulait entrer, pour sa façon de pratiquer dans sa vie les béatitudes, pour son humilité parfaite, pour la Lumière dont il resplendissait à la fin de sa vie» (Jean-François, de la Belgique).
Le 8 décembre 2000
«Benoît avait une très grande confiance en Dieu» (Odile G., de l'Abitibi au Québec).
«Sa simplicité et sa grande bonté» (Sylviane G., de l'Abitibi au Québec).